Pierre, Pedro, Pierrot, Touff-man, ou "Tit frere"

chouette!!! bon courage!! you are the best!

Pedro a écrit:

entre 33 000 et 35 000

Ouch...

carole a écrit:

chouette!!! bon courage!! you are the best!

Ah ben bravo... elle dit vraiment ça à tout le monde ! Et le pire c'est qu'elle le pense

Carole, merci, je sais

Loïc, ce serait classe, hein ! Surtout à Niort, vu le prix des loyer, héhé.

Pour ce qui veulent un aperçu, ça ferait environ 2100 € net par mois (bé oui, les 33000, c'est brut quand même, faut pas déconner) donc : je croise les doigts, je croise les doigts et je croise les doigts.
Si vous savez pas quoi faire vendredi, vers 15h, je vous suggère de croiser les doigts.

Et si c'est le cas, dites-leur bonjour de ma part...

Je penserai bien à toi! En effet, un appart à Niort avec un salaire comme ça! tu pourras vivre dans un chateau!! lol

Pedro a écrit:

Et si c'est le cas, dites-leur bonjour de ma part...

Elle est drôle, elle est même TRÈS drôle... C'est surprenant

C'est pas le salaire d'un mec qui bosse dans le social

c'est naze le sociale faut dire.

C'est génial!!! Je suis contente pour toi! ya plus qu'à géré les entretiens comme tu dis, motivation à fond!
Si j'osais je dirai que tu as quand meme le c** bordé de nouilles, pourvu que ca dure!!!

Gros bizous à toi et tiens nous au courant


(pas de souci pour le bonjour, ca m'a fait bien rire d'ailleurs!)

bizous

Aloooors??? ça s'est passé comment?

Ca aurait pu etre mieux, ça aurait pu etre pire, je dirais donc : relativement bien.

En gros, ils ont pas de poste à me proposer là tout de suite, mais ça ne saurait tarder

Suite des aventures du Pedro :

J'ai été à un entretien lundi, ça s'est bien passé, mon profil les intéresse : "Je refais le point avec mes clients et je vous contacte d'ici la fin de la semaine."
Le lendemain :
- Bonjour, je vous appelle pour vous proposer une mission. Il s'agit de blablabla blablabla blablabla... Cela vous intéresse ?
- Bin, oui !
- D'accord, je vous positionne et vous tiens au courant d'ici la fin de la semaine.

Aujourd'hui :
- Bon, le client voudrait vous rencontrer, demain, vers 14h, OK ?
- Bin oui !
- OK, si ça se passe bien, vous commencez lundi.

Donc voilà, ça se présente bien

classe. Tu veux pas me trouver un travail, tu as l'air de savoir t'y prendre.

géniaaalll!!! bravoooo et grooos bisouuuus

Très bonne nouvelle ça!!!

j'espere vraiment que ca va le faire
Je croise encore les doigts pour toi

Bon, ca y est, j'ai un travail.
J'ai commencé vendredi matin, ça se passe bien pour le moment.

Félicitation

ouaiiiiiis!!!! félicitations

re - félicitations je suis vraiment contente pour toi!!
tu sais ce qu'il te reste à faire maintenant...

Travailler ?

par exemple

Alors, alors, alors, ça se passe comment, ça se passe comment, ça se passe comment ?

Bien bien bien !
Enfin, comme un travail quoi.
Ou plutot comme un travail ou on vient d'arriver et ou il faut s'adapter aux nouveaux outils propres au client.
Ou bien comme un travail ou tu es intérimaire, et du coup tu te tappes la m****, le temps de faire tes preuves.
Ou encore comme un travail ou on le chef te dit : "C'est une mission de 3 mois mais on part sur du long terme." et les collegues prestataires te disent : "De toutes façon, en janvier, on dégage tous, toi y compris".

Enfin bref, un travail quoi !

Mouais, un travail...

D'où vient le mot " travail " ?
Selon une hypothèse plus que plausible concernant l'étymologie de ce mot, ça viendrait du latin tripalium, outil formé de trois pieux, deux verticaux et un placé en transversale, auquel on attachait les animaux pour les ferrer ou les soigner, ou les esclaves pour les punir (instrument de torture).

Ceux qui connaissent l'étymologie du mot " travail " ne retiennent généralement que la seconde partie de la définition, soit " instrument de torture " parce que ça arrange les feignants de ne retenir que ça. ( Notez que je suis une feignante et que je vous cite cependant la définition en entier ! )

Et si on s'en tient à ça, alors oui Pierre, tu as l'air d'avoir trouvé un sacré travail. Ou, pour te citer, " un travail, quoi ".

Bref, bon courage, je compatis.

Les nouvelles aventures du Pedro :

Il y a 3 semaines, j'ai changé de bureau à la MACIF, j'étais triste : chaise pourrie, reflet de fenêtre dans l'écran et collègues pas très causants...

Il y a 2 semaines un de ces collègues reçoit un mail de son ancien patron : " J'ai besoin de 5 ressources java sur Niort, t'en connais ? ". Du coup, il lui donne mon nom et on se fixe un rendez-vous le lendemain midi, dans le centre de Niort. Mais le lendemain (jeudi 2 décembre), c'était la neige, et du coup, j'y suis pas allé (et je l'ai pas prévenu, d'ailleurs), je pensais donc que c'était foutu.

La semaine dernière, surprise ! Le monsieur en question m'a rappelé pour qu'on se re-fixe un rendez-vous. Va pour le mardi 14 décembre alors (hier).

Hier, donc, je suis allé manger avec lui le midi, il m'a présenté sa boite, blablabla, et on a bien mangé. Arrive un moment assez rigolo :

- Quel est votre salaire actuel ?
- 24k€
- Et votre salaire chez Logica ?
- Pareil, 24k€
- Bon, et quelles sont vos prétentions salariales ?
- 33k€
- ..., ah quand même, ça fait un sacré bond !
- Et alors ? Ca vous choque par rapport à mon profil ?
- Non.

Bon, du coup je m'en vais assez content, apparemment, ça c'est bien passé.

Ce matin, j'arrive au boulot, je regarde mes mails : Vous avez un nouveau message.
C'était le monsieur de la veille qui m'a envoyé une lettre d'intention d'embauche, avec tout ce que je demandais la veille. Bonne surprise.

Ce midi, j'avais le repas de fin d'année de la boîte pour laquelle je bosse actuellement en interim et qui me dit depuis le début qu'elle m'embauchera en CDI à la fin de la mission d'interim. On a bien mangé. Et puis, en partant, petite scène marrante :

- Aurélie, il faudra qu'on se voit quand même pour parler de la suite de la mission, ce que vous avez-prévu, tout ça.
- Ok, t'as des nouvelles de ton côté ? Tu sais si la MACIF veux te garder ?
- Non, aucune visibilité. Par contre, j'ai reçu ce matin une lettre d'intention d'embauche[...].
- Ah oui, mais on veut continuer à travailler avec toi, nous ! Bon, on prend rendez-vous vendredi midi pour en parler, on te sortira la proposition à ce moment là. Mais je te préviens, on va se battre pour te garder !
- Faites, faites... Alors, à vendredi !

Conclusion, je n'ai pas trop de soucis à me faire pour la suite (au niveau professionnel, bien sur).

Espèce de petit con